Description Physique
Attend, sérieusement…il est mannequin c’est ça ? Houla, pas du tout mon pauvre Robert ! Ce serait bien trop de travail, ça. Et en plus, il parait que c'est un métier fatiguant. Mais passons, ne dérivons pas dans un autre sujet, parce que là c’est de sa physionomie dont je vais te parler. Déjà, histoire de le visualiser un peu, l’imbécile là mesure à peu près un mètre soixante-dix huit, pour plus ou moins une soixantaine de kilogrammes. Il a une silhouette assez fine, pas un pet de graisse, bon disons le…n’ayons pas peur des mots, il est sacrément bien foutu ! Notons aussi qu’il a un teint de peau plutôt joli, légèrement halé mais vraiment très peu, ce qu’il lu va très bien. Sinon, on va s’attarder un peu sur son minois, parce que c’est un peu ce qu’on voit le mieux chez quelqu’un. Eh bah écoute, il a un visage tout aussi agréable à regarder que son corps, une bonne forme. Il a un jolie nez, assez fin, comme il faut et ses lèvres sont tout aussi bien. Quant à ses yeux, qu’ils sont beaux ! Ils sont amendés, presque, je dis bien presque bridé. D’une agréable couleur oscillant entre le rouges, un peu bordeaux…aux reflets très légèrement rosés. Sans doute dû à un problème de pigmentation. Quant à ses cheveux, tu vois il a les cheveux bleus. Normalement ils sont noirs, mais là, on sait pas pourquoi ils sont bleus. Une couleur ? Peut-être. En parlant de ses cheveux, sache qu’ils sont long, il lui arrive plus ou moins aux omoplates. Certaines mèches sont coupées un peu inégalement, ils lui recouvrent une partie de son visage, aussi. Ils sont plus doux et lisse. Autrement, niveau tenue vestimentaire, il porte principalement ce qui lui passe sous la main. Mais il aime bien les pantalons assez simple et les débardeurs, les haut à manches courtes, tu vois ? Et puis, on a fait le tout là.
Description Psychologique
Tu vois Gégé, ce gars là, tu veux que je te raconte un peu comment il est ? Ecoute, tu me facilites pas la tâche là, c’est pas un truc facile, vois-tu ? Ce type là est l’incarnation même de la flemme. Très sincèrement, bien souvent il a regretté de ne pas être un Tanuki, seul canidé à hiberner. Parce que hiberner, c’est un peu comme un rêve, pour lui. Seulement, le destin en a décidé autrement en le faisant Hybride Lycaon. La grosse merde quoi. Dans tout les cas, tu l’auras comprit, Lenwë pourrait parfois être confondu avec l’un de ses gros félins tellement il est tranquille. Il préfère vivre la vie à deux à l’heure, plutôt qu’à cent. A quoi cela servirait de se presser ? C’est pas un citron *Pom pom tchiii*. D’ailleurs, il est plutôt un peu genre « Je m’en foutisme ». Lâchez moi la grappe et laissez moi vivre ma vie. C’est pas Eugène possible d’avoir vingt ans et de se faire encore emmerder comme-ça, quoi. Et justement. Quant à la guerre qui oppose les Pirates avec le reste de la communauté d’Utopia, il s’en fiche. Il préfère se poser en observateur, comme-ci il suivait un rêve dont il ne fait pas réellement parti. De toute manière, il serait bien incapable de choisir un camp. A vrai dire, il serait bien possible qu’il aide tantôt ceux-ci et la minute d’après ceux-là. Parce qu’il est lunatique, changeant, et ses idéaux aussi. Plus changeant qu’un Timelord ayant usé une douzaine de fois de régénération. Et si, comme dit, il est aussi lunatique, même si son côté « Tranquille la vie, ralenti man » prime sur toute chose. Il lui arrive parfois, d’avoir la bougeotte. Parfois. En revanche, si il y a une chose pour laquelle il n’a pas la flemme, c’est bien pour râler. Parce que Lenwë est un râleur professionnel, même qu’il le pratique en compétition. Mais, ça passe que par les paroles. Néanmoins, si on vient trop l’embêter il pourrait bien en venir aux mains, et en vérité il peut se révéler très bagarreur. Niveau débit de paroles, ça peut aller à l’écoulement incessant de mots à de simple « Hm »… « Mouai »… « Hrmfr ». Parfois superficiel et imbu de lui-même, il en reste pas moins sympathique.
Parce que franchement, il est charmant, vraiment.
Autre : Il a une sainte horreur des Lapins ! ><"
Biographie
Okay, Albert, laisse moi te conter la vie inintéressante de ce jeune homme !
Lenwë est né un 6 février à Utopia, dans une famille aisée. Papa était militaire, colonel pour être plus précis, et il comptait bien à ce que son fils suive le même chemin que lui. Du coup alors que l’enfant grandissait doucement mais surement son père veillait à ce que son éducation suive les mêmes principes que ceux de l’armée, et les mêmes idées. Le respect, la discipline, et l’exécution des ordres, donc. Bien entendu, le caractère assez doux de sa mère, faisait balancier avec l’éducation très sévère du père. Maman, plus connue sous le nom de Serindë, était une petite noble de classe sociale moyenne, qui aimait beaucoup passer son temps à broder n’importe quoi. Dans tout les cas, son enfance passa rapidement. A partir de ses six ans, il eu le droit à un précepteur, chargé de son éducation culturelle. Lenwë n’était pas un cancre, loin de là, néanmoins il mettait de la mauvaise volonté et passait son temps à rêvasser. Malgré tout il faisait ce que le Professeur lui disait de faire, parce qu’il était un petit bien obéissant. L’éducation de papa portait ses fruits. Cependant, il était très assidue à l’apprentissage du violon, dont sa mère avait insisté pour qu’il l’apprenne. Merci maman.
Sauf qu’avec ce genre de pédagogie, soit ça fonctionne toujours sans aucun problème. Soit il vient un jour où ça pète, comme on dit. Et là, il n’est pas exagéré de dire que ça a explosé. Alors que Námo avait inscrit comme prévu son fils à l’école militaire. Lenwë, qui approchait de sa seizième année, envoya, disons le franchement, son père aller se faire voir tout en lui balançant ses quatre vérités. Selon lui, l’armée ça puait, et ça pue encore. La discipline c’est bon pour les chie…les chats. Et surtout, c’était bien trop fatiguant. Parce que lui, lui, il avait pas envie d’aller se casser le popotin. Au pire, si il devait travailler un jour, il trouverait un petit métier bien pépère, et pis c’est tout !
Bien entendu, il se retrouve mit à la porte.
Lenwë traina et arpenta les rues de Eden, furieux. Espèce de vieux con ! Pensait-il. Qu’est-ce qu’il allait faire lui maintenant ? Sans un sous, sans rien. Il aurait pu rentrer, ce n’était pas interdit, à la condition qu’il s’excuse, bien evidemment. Sauf qu’il n’en avait aucune envie. Il n’irait surement pas ramper et courber l’échine devant son père, ça non alors ! Il préférait dormir sous les ponts, et c’est qu’il fit. Il aurait pu dormir chez un ami, sauf qu’en fait il n’avait jamais eu véritablement l’occasion de tisser des liens avec qui que ce soit. Tant pis.
C’était bien entendu sans compter sur maman, qui après quelques jours quand même, avait réussi à convaincre monsieur pour que fiston revienne. Même si l’ambiance restait fortement tendu, et que les disputes et insultes fusaient à tout va à n’importe qu’elle moment de la journée ou Námo était là.
Et les années passèrent ainsi, des années où, pour faire genre « Je suis indépendant », Lenwë tenta de travailler. Tenta parce que, le jeune ne supportait pas la moindre critique et était bien trop flemmard pour garder un travail plus de deux semaines. Même qu’il en eu plusieurs, de travails, au cours de ses dernières années.
Jusqu’à sa dix-neuvième année où il décida de, comme il savait très bien jouer du violon, de devenir musicien à temps partiel. Après tout, il pouvait très bien vivre avec l’argent de Papa et Maman, aussi. Et après ça, l’héritage…l’héritage ! Enfin, n’enterrons pas la parenté avant l’heure.
Cette année là fut plus calme, principalement parce que Lenwë avait décider d’ignorer royalement son père qui continue à vouloir lui démontrer combien il est stupide de ne pas vouloir suivre le même chemin que lui. De toute façon il avait l’appuis de sa maman, alors.
Et aujourd’hui, il a vingt ans, il n’a pas changé, et il ne compte pas changer…